quand les parents, les frères, les sœurs ou les amis apprenaient un décès ou venaient identifier le corps, qu'ils pleurent, qu'ils crient, qu'ils craquent ou qu'ils demeurent aussi calmes que s'ils avaient à peine connu le mort ne révélait rien, ou du moins pas grand-chose, ni de ce qui se passait vraiment à l’intérieur d'eux ni de l'ampleur de leur peine face à cette mort.
le chagrin a autant de visages qu'il existe de gens. Il a ça en commun avec l'amour