Je n’ai pas besoin qu’on s’apitoie sur mon sort. Je ne suis forcée à rien, je sais bien ce qu’on pense des filles qui bossent dans des endroits pareils, mais la plupart sont là parce que c’est le moment de la journée où elles sont libres, parce qu’elles font des études, qu’elles ont besoin d’argent et quand on est danseuse, ça paie bien.