Ce résultat se retrouve résumé dans le sinogramme chinois pour "crise", lequel se prononce "wei-ji" et se compose lui-même de deux sinogrammes : "wei", qui signifie "danger", et "ji", qui signifie "occasion, clé, point critique, opportunité". Le philosophe allemand Friedrich Nietzsche a exprimé une idée similaire par sa remarque "Ce qui ne me fait as mourir me rend plus fort". Un autre équivalent pourrait être le mot d'esprit de Winston Churchill : "Il ne faut jamais gaspiller une bonne crise."
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