L’Enjôleur vous rejoint au cœur de la nuit. Vous sentez sa présence même à travers les cloisons du sommeil, car sa colère déforme l’obscurité tel un trou d’obus à votre chevet. Il transpire une douleur brute et indicible, celle de vous avoir perdue, non à cause de la mort ou de l’éloignement, ou d’une quelconque vicissitude, mais au profit du triste commerce des chairs.