L’une des observations les plus saisissantes lorsqu’on parcourt les rues narfecs concerne les habitations. Les hommes se logent les uns sur les autres dans des appartements, c'est-à-dire des divisions de grands parallélépipèdes (les immeubles) se scindant eux-mêmes en sous-parallélépipèdes donnant sur des ouvertures rectangulaires plus communément appelées fenêtres ou portes. Comme l’habitat est structuré par et dans le rectangle jusqu’aux briques ou aux parpaings qui le construisent, on peut se demander si l’habitant, lui, ne serait pas habité par cette forme, par cette structure qu’il produit, et qui se reproduit à l’infini, ou presque...