On sait […] que ces particules elles-mêmes (les électrons) se définissent par un certain nombre de facteurs quantiques ou états, n, l, m, s, qui en précisent les probabilités positionnelles sur chaque orbite sub-atomique ou couche, le « moment » dynamique (ou quantité de mouvements), l’orientation (de -1 à +1), et le spin ou moment angulaire de la rotation de la particule sur elle-même, de gauche à droite ou de droite à gauche.
De même, les « facteurs d’ensembles » qui définissent les mythes pourraient se comparer –entre autres- à des «états » qui en préciseraient le sens positif ou négatif (a), l’aspect dynamique (ou ondulatoire) et statique (ou corpusculaire) (b), les positions probables sur chaque orbite temporelle ou ère (c), le degré d’entropie ou de néguentropie dans un sens ou l’autre du Temps (d).