Mais il s’agit bien de cette heure, au crépuscule, où, la journée finie, l’homme doit reconnaître qu’il n’a rien fait que vivre une journée encore, appesanti de fatigue, le cerveau et le ventre lourds. A moins qu’une action belle ou bonne, libératrice, n’ait valorisé ce jour-là et ne le ressuscite lui-même, l’homme, par son épuisement, qui l’absout…