Citation de Radwan74
La fiction Cas de conscience d’Hugues Labiano revisite le thème de la lutte armée à travers une forme particulière de combat, celle de la guérilla urbaine. Tension, hantise de la mort, crainte de parler sous la torture en cas d’arrestation sont le lot quotidien de ces résistants qui doivent respecter des règles de sécurité draconiennes. Pour ce type d’action, le combattant, dont l’espérance de vie ne dépasse généralement pas trois mois, utilise des calibres faciles à dissimuler. Nul besoin d’étui la plupart du temps, car il s’agit de sortir son arme le plus discrètement et rapidement possible ou, éventuellement, de s’en débarrasser sans laisser de traces.
