Naturellement, je prends une fausse identité puisqu’il s’agissait quand même de garantir ma sécurité quelle que soit l’évolution de la mission. On avait en face de nous, potentiellement, l’Union soviétique et ses services. Même chez les Afghans, il pouvait y avoir des rivalités qui faisaient qu’un officier traitant pouvait faire l’objet éventuellement d’une attaque, ou d’un assassinat. Donc, il est important de me protéger, et surtout de protéger ma famille.