Mais Godefroy semble indifférent à cette gloire nouvelle.
Dans son château, il médite, un mal étrange l'accable.
Il ne manque pas d'établir une relation entre la prise de Rome, les déprédations auxquelles se sont livrées ses troupes, et la maladie qui le ronge.
Godefroy comprend alors que les imprudences et les excès d'Henri IV risquent de lui attirer les châtiments du ciel.