De fait, la télé, c’était parfait sans le son. Ça laissait le champ libre à toutes les supputations. On pouvait délirer ad libitum. Dell’Orso s’amusait ainsi souvent au petit jeu qui consistait à prêter aux personnages s’agitant sur l’écran des paroles imaginaires. Comme si, pour une fois, ils avaient tous arrêté de dire des conneries.