Peu de choses sont plus pauvres, plus tristes, qu'un village ou un bourg français en 1970, semé de pavillons en ciment, de chalets normands ou savoyards, de baraques en meulières, d'H.L.M. lépreuses avant d'être finies. On ne laisse pas d'être surpris, en traversant ces endroits, que des gens y vivent, ne meurent pas de désespoir au milieu de tant de laideurs.