Les fresques du brouillard
Les fresques du brouillard des cités grises
S’estompent dans la nuit qui n’est plus temps
Mystérieuse identité reconquise
Dans les dessins du sommeil transhumant
Et brise offerte au nom de haute mer
En syllabes d’une ancienne tendresse
Je vois bondir les enfants de lumière
L’océan bat et s’enroule à leurs tresses.