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Critiques de Jean-François Coulomb des Arts (5)
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Une semaine de juin

Un premier roman pour Jean-François Coulomb.

Alexandre et Frédéric, Frédéric et Alexandre, les inséparables, les potes, les complices. Ils ont dépassé la cinquantaine et sont toujours depuis plus de 3O ans l'un près de l'autre.Quand le père d'Alexandre s'effondre victime d'un arrêt cardiaque,c'est avec Frédéric qu'Alexandre essaye de se remettre

Amitié avec un A Superbe..

Arrivés à ce tournant de toute vie que représente la cinquantaine ils s'interrogent surtout Frédéric sur le but de son existence ....Roman choral où les voix des 2 amis s’entremêlent.

Voilà un texte qui avait au départ tout pour me séduire mais voilà l'auteur fait évoluer ses personnages dans un monde que dis-je dans un microcosme où l'argent coule à flot, où chacun roule en Ferrari et Porche, où un en-cas c'est caviar et fraises...j'en passe Je me suis sentie tellement hors de ce monde que cela en était risible!

Court roman , vite lu, et à oublier bien vite mais bien sûr ceci n'est que mon modeste avis
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Vendanges tardives

Ce recueil rassemble 14 nouvelles de 4 à 18 pages, écrites pour la plupart à la première personne, dont le héros ou le narrateur est toujours un homme, voilà pour les statistiques. Les acteurs en apparence superficiels, évoluent dans des milieux aisés, les femmes sont attirantes et font volontiers l’amour. Le personnage central est finement décrit, ou brossé en quelques traits, mais toujours très présent. Les histoires font passer de la Provence à La Havane en passant par Genève et des guerres d’Empire à nos jours via la Résistance.

Le titre du volume est donné par le premier texte et ne parait pas avoir une signification plus large…si ce n’est qu’à la fin de presque toutes les histoires tombe une phrase, sèche et implacable. Elle surprend toujours, et éclaire la nouvelle d’un jour inattendu. Le lecteur ne comprend que tardivement le propos réel. La répétition du procédé pourrait être lassante mais constitue pour moi un des intérêts de lecture. On se prend au jeu et on attend la chute. « C’est épatant » était devenu une de ses expressions favorites, dit un des textes, l’adjectif s’applique aussi à ce joli petit livre.
Lien : http://www.coucal.fr/2011/01..
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Vendanges tardives

Je n’ai pas trouvé un grand intérêt à ces nouvelles, pas de relief ni de patte particulière. Quelques chutes amusantes, mais c’est souvent ce qu’on (....)



la suite sur mon blog
Lien : http://lespassionsdelaura.ov..
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Vendanges tardives

Quatorze nouvelles courtes. Tout cela est joli, élégant, malin. Une lecture agréable et rapide, mais sans beaucoup de relief. J’aime bien quand les textes courts bousculent bien fort le lecteur (Topor, Bloy, Fitzgerald, Maupassant, par exemple). Là, j’ai été gentiment surprise par quelques chutes astucieuses ("Hors-jeu", "Histoire suisse"), mais pas toujours. Certaines m’ont paru répétitives, fabriquées, redondantes.



Jean-François Coulomb a quelques dadas : les hussards de Napoléon ("Vendanges tardives", "Paris-Austerlitz"), les petits cocufiages entre amis ("Aquarelle sur le Nil", "Septembre noir"), ou en famille ("Franck et fils", "Sex-toys"), les accidents d’auto et d’avion ("Septembre noir", "Hors-jeu", "Franck et fils", "Histoire suisse"). A part cela je n’ai pas appris grand-chose sur l’auteur en progressant dans ce kaléidoscope d’histoires sentimentales au goût doux-amer.



Comme avec Thibault de Montaigu ("Les grands gestes la nuit"), mais en beaucoup mieux réussi, j’ai eu l’impression d’un hommage rendu aux romans bourgeois des années 60-70.
 On est le plus souvent à Saint-Germain des Prés, que l’on quitte parfois pour l’Old Cataract d’Assouan, le Floridita de La Havane, ou Saint-Tropez.



Est-ce que le titre "Vendanges tardives" se rapporte à l’ambition littéraire de l’auteur ? La quatrième de couverture indique que Jean-François Coulomb est né en 1956, et que c’est ici sa première incursion dans le domaine littéraire. Un vieux débutant ? Pas si sûr...



Dans un billet intitulé : “Hussards toujours vivants, littérature suit…”, Arnaud Le Guern écrit :



“ Besson et Neuhoff, par contre, furent d’une belle aventure qui ne s’est pas privée de saluer Frank, Nimier, Blondin et Laurent : la revue Rive droite.

C’était en 1990. Ça a duré quatre numéros avec, pour éditeur, Thierry Ardisson – alors romancier inspiré et pas encore animateur pubard en bout de course. Au sommaire : Frébourg, Saint-Vincent, Parisis, Leroy, le trop oublié Jean-Michel Gravier ou encore Frédéric Fajardie. Mais aussi Jean-François Coulomb, homme de télé, de presse écrite, de ce qui lui plaît. Coulomb offrit à Rive droite une histoire d’amour triste sur fond de bataille napoléonienne : Paris-Austerlitz. Vingt ans après, cette nouvelle clôt Vendanges tardives [...] ”



On comprend mieux alors, les clins d’œil de Coulomb aux “hussards”, même si les siens sont de vrais soldats de l’Empereur, pas des écrivains. Aussi, les citations en exergue : Bernard Franck, Patrick Besson, et quelques silhouettes diverses : Déon, Morand, Cocteau.



Quelques unes des histoires sont encore plus amusantes à la lumière de l’actualité.

"Plaisir d’offrir" met en scène une vieille dame riche mal-aimée qui déshérite ses enfants et offre un tableau à l’ami de son petit-fils (mais en tout bien tout honneur !).

"K.-O. debout" a pour héros un riche entrepreneur qui se prend pour un grand comédien.



Pour son esprit fin et la qualité de son écriture, Jean-François Coulomb mérite de rencontrer un public de lecteurs sensibles à sa petite musique, en attendant (comme je fais) un premier roman plus symphonique.



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Vendanges tardives

"Vendanges tardives" est une œuvre d'une lecture aisée, pas aussi dérangeante qu'elle le voudrait. L'intérêt des textes se tient surtout dans leur chute, ce qui n'encourage guère à la relecture, mais permet de passer un moment agréable sans se mettre martel en tête.
Lien : http://salondemrspepys.over-..
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