Jean-Frédéric Daudin participe depuis de nombreuses années aux travaux de plusieurs loges françaises, tant à Paris qu'en région, au sein de plusieurs obédiences.
Il se veut héritier à la fois de Martin Nadaud, Victor Schoelcher et Cambacérès.
Il n'existe aucune filiation directe entre le compagnonnage et la franc-maçonnerie. L'un n'a pas engendré l'autre et, depuis trois siècles, c'est l'ignorance mutuelle qui régit les rapports entre les deux mouvements.