Francois Armanet vient du monde du journalisme et Jean Helpert vient du monde de la réalisation : ensemble ils écrivent à 4 mains l'histoire du diptyque intitulé "Le Nouveau Monde", un récit historique plein d'humanité...
Espagne 1602, un vieux moine se remémore les jours qui l'ont marqué toute sa vie durant. Rome 1538, le frère Marcos de Niza ardent défenseur des thèses de frère Bartolomé de Las Casas est missionné par le pape Paul III lui-même pour évangéliser les Amériques, mais aussi, d'abord et surtout pour confirmer ou infirmer l'existence des Sept Cités d'Or de Cibola qui se cacheraient dans les grands espaces au Nord du Mexique... Arrivé sur place il est chaleureusement accueilli par le gouverneur Antonio de Mendoza, ancien juif converti au christianisme, et fraîchement accueilli par l'aristocrate psychopathe Nuno de Guzman. Personne ne veut accompagner Marcos dans sa quête, car le Nord du Mexique est sauvage et peu de personnes en sont revenus vivantes : c'est ainsi que pour l'épauler il fait libérer Esteban, ancien esclave africain promis au bûcher pour hérésie parce qu'il refusé de tuer des Amérindiens réfractaires aux enseignements du Christ inculqués à la pointe de l'épée… Et que les deux compères se retrouvent rejoints par Dona Isabel la pupille d'Hernan Cortes, la fille de l'Empereur Moctezuma, et la fiancée de Nuno de Guzman : la quête est lancée, mais la traque a elle aussi commencée !
Le récit d'aventure est un chouette écrin à un très beau relationship drama, car Marcos fait le lien entre Esteban trop africain pour être accepté par les Espagnols et trop Espagnol pour être accepté par les Africains, et Isabel trop amérindienne pour être acceptée par les Espagnols et trop Espagnole pour être acceptée par les Amérindiens… Les personnages aimeraient bien retourner en arrière, mais il est trop tard depuis bien longtemps déjà et ils sont forcés d'aller de l'avant pour trouver en eux un avenir qui veut bien d'eux… Au contraire de ses compagnons d'infortune Marcos fraîchement sorti de son monastère ne sait rien de l'injustice et de la cruauté de notre Monde de Merde, et en se liant et en s'accrochant à eux il est obligé d'avancer et d'évoluer quitte à les aider dans leurs quêtes de vengeance respectives : Esteban veut tuer Nuno de Guzman qui a tué sa soeur, Isabel veut tuer Xicotenga qui a tué ses frères… Au bout du bout l'un d'entre eux retourne dans son pays natal et ses deux compagnons vont de l'avant pour se construire une nouvelle vie dans l'une des nombreuses tribus des Grandes Plaines : je ne spoile pas, puisque dès le départ on sait comment tout cela se finit ^^
Le diptyque passe d’une longue introduction à une longue transition, donc j’ai peu envie de dire que cela manque de tome(s) de transition car enrichir le côté action & aventure n’aurait nullement nui au récit. Bons personnages, bons dialogues, bonnes thématiques, mais au-delà des très belles illustration de couverture quid des graphismes ? C’est bien là le problème puisque le tome 1 intitulé "L’Épée du conquistador" est confié au français Xavier Coyère qui présente un découpage classique, des décors simples mais un charadesign très soigné, et que le tome 2 intitulé "Les Sept Cités de Cibola" est confié à l’italien Stefano Carloni qui présente un découpage fluide, des décors riches mais un charadesign plus simple et surtout plus fluctuant… Misère de misère même la taille et la police d’écriture changent entre les 2 parties, alors qu’on était vraiment pas loin d’une très bonne série !!!
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Francois Armanet vient du monde du journalisme et Jean Helpert vient du monde de la réalisation : ensemble ils écrivent à 4 mains l'histoire du diptyque intitulé "Le Nouveau Monde", un récit historique plein d'humanité...
Espagne 1602, un vieux moine se remémore les jours qui l'ont marqué toute sa vie durant. Rome 1538, le frère Marcos de Niza ardent défenseur des thèses de frère Bartolomé de Las Casas est missionné par le pape Paul III lui-même pour évangéliser les Amériques, mais aussi, d'abord et surtout pour confirmer ou infirmer l'existence des Sept Cités d'Or de Cibola qui se cacheraient dans les grands espaces au Nord du Mexique... Arrivé sur place il est chaleureusement accueilli par le gouverneur Antonio de Mendoza, ancien juif converti au christianisme, et fraîchement accueilli par l'aristocrate psychopathe Nuno de Guzman. Personne ne veut accompagner Marcos dans sa quête, car le Nord du Mexique est sauvage et peu de personnes en sont revenus vivantes : c'est ainsi que pour l'épauler il fait libérer Esteban, ancien esclave africain promis au bûcher pour hérésie parce qu'il refusé de tuer des Amérindiens réfractaires aux enseignements du Christ inculqués à la pointe de l'épée… Et que les deux compères se retrouvent rejoints par Dona Isabel la pupille d'Hernan Cortes, la fille de l'Empereur Moctezuma, et la fiancée de Nuno de Guzman : la quête est lancée, mais la traque a elle aussi commencée !
Le récit d'aventure est un chouette écrin à un très beau relationship drama, car Marcos fait le lien entre Esteban trop africain pour être accepté par les Espagnols et trop Espagnol pour être accepté par les Africains, et Isabel trop amérindienne pour être acceptée par les Espagnols et trop Espagnole pour être acceptée par les Amérindiens… Les personnages aimeraient bien retourner en arrière, mais il est trop tard depuis bien longtemps déjà et ils sont forcés d'aller de l'avant pour trouver en eux un avenir qui veut bien d'eux… Au contraire de ses compagnons d'infortune Marcos fraîchement sorti de son monastère ne sait rien de l'injustice et de la cruauté de notre Monde de Merde, et en se liant et en s'accrochant à eux il est obligé d'avancer et d'évoluer quitte à les aider dans leurs quêtes de vengeance respectives : Esteban veut tuer Nuno de Guzman qui a tué sa soeur, Isabel veut tuer Xicotenga qui a tué ses frères… Au bout du bout l'un d'entre eux retourne dans son pays natal et ses deux compagnons vont de l'avant pour se construire une nouvelle vie dans l'une des nombreuses tribus des Grandes Plaines : je ne spoile pas, puisque dès le départ on sait comment tout cela se finit ^^
Le diptyque passe d’une longue introduction à une longue transition, donc j’ai peu envie de dire que cela manque de tome(s) de transition car enrichir le côté action & aventure n’aurait nullement nui au récit. Bons personnages, bons dialogues, bonnes thématiques, mais au-delà des très belles illustration de couverture quid des graphismes ? C’est bien là le problème puisque le tome 1 intitulé "L’Épée du conquistador" est confié au français Xavier Coyère qui présente un découpage classique, des décors simples mais un charadesign très soigné, et que le tome 2 intitulé "Les Sept Cités de Cibola" est confié à l’italien Stefano Carloni qui présente un découpage fluide, des décors riches mais un charadesign plus simple et surtout plus fluctuant… Misère de misère même la taille et la police d’écriture changent entre les 2 parties, alors qu’on était vraiment pas loin d’une très bonne série !!!
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1887. Une femme est poursuivie par trois hommes dont le chef tient une canne en argent. La femme désespérée confie son nourrisson de quelques heures à un curé le père Ménard. 12 ans plus tard la petite fille a grandi sous le regard bienveillant du père Ménard et de sa nourrice. Malheureusement l homme à la canne d argent réapparaît.
Un roman plein de mystères très agréable à lire et bien écrit.
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1602. Espagne.
Un moine franciscain sentant sa dernière heure venir se met à écrire ses souvenirs de jeunesse.
1538. Rome. Le pape envoie le jeune moine Marcos en mission au Mexique, conquis depuis peu par Cortès. Le pape est convaincu que seuls ceux qui parleront avec amour aux Indiens obtiendront des conversions auprès des dits Indiens. L’empereur Charles Quint a eu l’intelligence de nommer comme vice-roi, Antonio de Mendoza. Un homme aux talents diplomatiques sûrs qui gère avec intelligence la Nouvelle-Espagne.
Lorsque notre bon Franciscain débarque dans la ville de Mexico, il y rencontre un inquisiteur qui voit des hérétiques partout et qui ne jure que par les bûchers… Justement, il veut voir rôtir un conquistador noir qui refuse d’abjurer sa foi en l’islam… Un conquistador, ancien esclave, formé au maniement de l’épée par Nuño Beltrán de Guzmán, grand noble espagnol, qui se prépare à épouser, contre son gré à elle, la fille de l’empereur Moctezuma, Isabel…
Critique :
Les dessins sont d’un classicisme dépassé par ce qui se fait de nos jours, la mise en couleur n’a rien d’extraordinaire. Voilà, c’est dit ! La couverture de très grande qualité est trompeuse…
Passons au scénario… Mouais… Je n’apprécie pas trop les bandes dessinées « historiques » lorsqu’elles prennent beaucoup de libertés sans qu’il ne soit mentionné qu’il s’agit d’une uchronie. Oh ! Eh ! On se calme ! J’en vois qui sont prêts à me crucifier ou à me faire rôtir sur le bûcher. Bande d’inquisiteurs à la petite semaine !
Les personnages laissent entendre qu’Antonio de Mendoza, vice-roi s’il vous plaît, est un juif originaire de Grenade… Allons ! Un peu de sérieux ! Antonio de Mendoza appartenait à une famille de zélés serviteurs de l’état appartenant à la noblesse. Il est effectivement né à Grenade… en 1495, soit trois ans après la chute de la ville tombée aux mains des Espagnols. Peut-on imaginer un instant, l’empereur Charles Quint nommer comme vice-roi un juif, fut-il issu d’une famille convertie de fraîche date !
Dans l’histoire, l’horrible Guzmán s’apprête à épouser, contre son gré, Isabel, fille de Moctezuma. Sauf que le « charmant » Guzmán, dans la réalité historique, a été condamné par le vice-roi Antonio de Mendoza et, accusé de corruption et mauvais traitements infligés aux indigènes, Guzmán fut envoyé et emprisonné en Castille en 1538. Dès lors, le récit perd toute crédibilité historique (vous comprendrez pourquoi à la fin du deuxième album).
Autre point, je n’ai pas fini de tirer sur l’ambulance, Isabel, la fille de Moctezuma, héroïne de cette histoire, avait épousé successivement trois empereurs aztèques : « Elle était l'épouse des empereurs aztèques Atlixcatzin, Cuitlahuac et Cuauhtemoc et en tant que telle la dernière impératrice aztèque. » (Merci Wikipédia.)
Elle a ensuite été violée par le « gentilhomme » Cortes, vainqueur des Aztèques. Elle donna naissance à une fille, Leonor Cortés Moctezuma. Elle épousa trois Espagnols (pas tous en même temps), et fut veuve cinq fois… On est très loin de l’Isabel de ce récit…
Encore un dernier point, et puis je laisse la carcasse fumante de l’ambulance se consumer en paix : difficile de croire que l’infâme Guzmán ait formé à l’escrime un esclave noir et musulman pour en faire un compagnon.
Bref ! Si vous décidez de lire cette bande dessinée, ne croyez pas un mot de son caractère « historique » car vous serez complètement bernés. Abordez-la comme une uchronie et vous l’apprécierez peut-être. Moi, je n’ai pas pu.
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Méditerranée, au large des côtes marocaines. 1525.
Une caravelle espagnole aborde un bateau mauresque. Massacre des passagers et de l’équipage. Parmi les passagers se trouvaient Esteban et sa sœur.
Sierra mexicaine. 1538.
La princesse Isabel, fille de Moctezuma, se reproche d’avoir entraîné ses compagnons, le moine franciscain Marcos de Niza et le conquistador noir Esteban, dans sa fuite alors qu’ils sont poursuivis par l’impitoyable Nuno de Guzman, seigneur espagnol qui était décidé à épouser la princesse malgré elle. Xicotenga, l’allié de Guzman, se voit cautériser son moignon par un chirurgien de Guzman et ne rêve que de vengeance…
Critique :
Faux récit historique, la moindre des choses aurait été d’annoncer qu’il s’agit là d’une uchronie. Les personnages ont existé mais, dans le récit, ils ne sont pas du tout conforme à la réalité historique.
Je vous invite à aller voir ma chronique dans le tome 1.
Remarquez que je n’avais pas tout dit sur les protagonistes dans ma critique de ce premier tome ! J’en gardais sous le manteau pour le deuxième tome…
L’esclave noir, devenu conquistador, musulman, s’appelle déjà Esteban alors qu’il est avec sa sœur à bord du navire mauresque, avant d’être capturé par les Espagnols. Vous y croyez, vous, à un musulman né dans une famille musulmane qui aurait reçu comme prénom à la naissance « Esteban » ? Moi, j’ai du mal !
Le moine franciscain Marcos de Niza a bel et bien existé… Mais il est mort en 1558 à Mexico… Il aurait donc eu bien du mal à raconter par écrit en 1602 ses amours avec la princesse Isabel. Revenons sur ces amours dans la bande dessinée… Marcos est jeune et beau… Jeune en 1538… Né en 1495, cela lui fait, disons, 43 ans… Un peu vieux pour un jeune moine, non ? Surtout si on considère les conditions de vie à l’époque…
Autre incongruité : Xicotenga a eu la main tranchée ! On lui cautérise le poignet… Et il est en super forme pour galoper et rattraper la princesse et son escorte ! Mais quelle santé !
Je vais m’arrêter là car d’aucuns crient déjà à l’acharnement.
Le dessinateur a changé et les dessins sont encore de moindre qualité que dans le premier tome. Ne vous fiez pas à la superbe couverture ! L’intérieur n’est pas du tout du même tonneau ! Je m’y suis laissé prendre ainsi qu’au commentaire dithyrambique d’un copain. Cela m’apprendra à y regarder à deux fois avant d’acheter une BD !
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J'ai commencé ce livre sans avoir lu les cinq autres tomes. Ça ne m'a pas vraiment dérangé. Avant de commencer le premier chapitre un résumé du tome précédent nous est proposé. J'ai pu ainsi suivre le livre en comprenant tout du premier coup. J'ai bien aimé l'histoire, les personnages et surtout les dessins. Une lecture plus pour les petits à partir de 8 ans. Facile à comprendre, l'écriture est grosse et simple. Ce livre, comme les autres de cette collection, se lit très vite. Je le conseille particulièrement pour les jeunes filles qui aiment la danse. Adapté aussi en dessin-animé on peut suivre les formidables aventures de Loulou, la jeune fille aux grands rêves. Elle suit ses espoirs et ne les perd jamais de vue. Même quand on la submerge de travail harassant, elle ne renonce pas.
J'ai seulement été très déçue par la fin, je ne m'attendais pas à ce que ça se termine si vite sur un moment si important.
Après la mort du père Ménard, Loulou va être recueillie par Mlle Trochu qui va devenir sa tutrice légale. Mais la jeune fille, n'est pas au bout de ses peines : pour qu'elle reste chez elle, et qu'elle s'occupe des frais, celle-ci l'oblige à travailler. Elle la considère comme une esclave et n'hésite pas à la traiter comme un chien. La pauvre Loulou croule sous les corvées. Aidée par Gaby, elle va tenter de s'évader. Mais le pire est à venir, si Mlle Trochu l'apprenait...
Un assez bon livre, j'ai un autre tome de cette collection mais je n'en rachèterai ou n'en réemprunterai pas d'autre. Je n'ai pas accroché au point de suivre toute la saga.
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Au programme : aventures et courses poursuites sur fond de conquête de l'empire aztèque par les espagnols.
1538, frère Marcos, un jeune prêtre est envoyé par le pape évangéliser les territoires au nord de Tenochtilan, récemment conquise. Si le vice-roi accueille favorablement son entreprise, le conquistador Nino de Guzman rêve lui de conquérir de l'or dans ces mythiques cités au nord. Sa cruauté et son absence d'humanité effraient celle qui lui est promise, la princesse dona Isabel, fille de Moctezuma. Elle réussit à s'enfuir avec frère Marcos et celui qui lui a été adjoint, un ancien esclave noir avec qui Guzman a des comptes à régler.
Un premier épisode assez réussi, même si les dessins sont plutôt quelconques.
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La vie est dure pour Loulou au pensionnat des Batignolles . Loulou est entourée de pestes , et la directrice Mme Trochu , ne cesse de la punir sans raison ! Heureusement un ami est là pour elle !
J'aime bien cette série un peu courte à mon gout , les illustrations sont très belles!
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1887, une jeune femme est poursuivie par trois hommes dont à un à la canne d'argent . La femme désespérée confia son bébé au père Ménard .12ans plus tard la petite fille avait grandi sous le regard bienveillant du père Ménard et de sa nourrice Léontine . Malheureusement , l'homme à la canne d'argent avait refait surface !
J'ai bien aimé ce roman court mais c'est suffisant pour l'histoire, très agréable à lire
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J'aime bien les bds qui traite de l'invasion espagnole à savoir une poignée de soldat qui met un empire millénaire à genoux. J'avais par exemple adoré Quetzalcoatl de Jean-Yves Mitton. Là, il faut dire que la comparaison annonce un match perdu pour ce titre.
J'espérais quelque chose de neuf qui n'est pas venu. La magnifique couverture cache en réalité un dessin avec bien des défauts d'imprécision. Le classicisme sera de rigueur au niveau de l'aventure sur fond de recherche des cités d'or aztèques. C'est assez convenu dans l'ensemble avec ce flagrant manque d'originalité. On reprends 3 personnages différents sur la trace des mystérieuses cités d'or, cela ne vous rappelle rien ?
Et puis, que dire de ce black conquistador qui n'est pas crédible dans son rôle. Cela apparaît comme anachronique. Heureusement qu'il y a le jeune moine plein d'idéaux qui partage l'affiche. On a envie quand même de découvrir la suite de ce diptyque car un nouveau monde nous attend.
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Une histoire bien captivante du début à la fin. On veut absolument connaitre la suite de ses aventures et de ses mystérieux personnages. Un vocabulaire aisé pour les jeunes lecteurs et des dessins agrémentent quelques pages pour illustrer les personnages.
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Que de péripéties pour cette Loulou. heureusement que le personnage de Gaby est la pour ne pas virer dans le mélodramatique complet, il insuffle à l'histoire un peu de légèreté et d'humour. Textes avec un vocabulaire simple pour le lecture des le CE1.
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Un des épisodes du dessin animé "Loulou de Montmartre".
Dans ce volume 18, la jeune héroïne de l'histoire en quête d'identité, cherche à prouver son appartenance à une riche famille parisienne. Mais des parents malveillants font tout pour lui nuire et toucher son héritage.
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