Avant le cinéma, jamais un art n’avait offert un sentiment de réalité immédiat, une empathie si transmissible, une part de légende si ouverte. Et tout cela reste en lui, comme un trésor. Puisse ce Petit éloge en redessiner la carte. Numérique, certes, mais carte au trésor quand même.
Histoire de nous prévenir des dangers de la goinfrerie, Molière nous le disait déjà, fort sentencieusement : Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger ..... par la voix de .... de qui déjà ?