Lorsqu’on commence à éditer des anthologies genre Best of Stones ou Best of Who, à connaître le nom de chaque musicien d’un groupe, et qu’on prend le bras du pick-up pour le poser et le reposer sur une plage, c’est mauvais signe : le moment est innommable. Se méfier des gens qui tripotent les machines et ne les laissent pas suivre leur cours autonome et impassible (et quand c’est fini ça recommence)