De du Bellay au XVIe siècle à Claude Roy au XXe siècle, en passant par La Fontaine, Boileau, Florian, Hugo, Verlaine, Laforgue et tant d'autres, chaque poète a célébré son chat, l'a admiré, ou regretté lorsqu'il le quitta, puisque ces petits compagnons, dans le langage quotidien, sont aussi appelés "bêtes à chagrin"