Les jours anciens sont comme de vieux parchemins devenus si fragiles que la lumière perce leur membrane jaunie.
Quand l’homme se retourne sur eux et essaie de les saisir, ils s’effritent en lambeaux que le vent emporte. Alors ses mains se retrouvent vides et il songe : “ Ma vie, n’est-ce que cela ?”