Cadre dirigeant d’une grande entreprise, Jean-Luc Marchand s’intéresse depuis toujours à la littérature et à l’Histoire.
Après "Drusilla" (2018), qui narrait les péripéties de la sœur de Bérénice en l’an 49, cette fois Jean-Luc Marchand, avec "L’Hoplite" (2020), se lance dans l’écriture d’une fiction historique qui offre une immersion dans l’univers des guerriers grecs entraînés dans une aventure épique au pays des Perses.
Il ferait de l’éléphant blanc un symbole de paix entre les Arabes et les Francs. Il dirait à Charles que l’éléphant était la parfaite allégorie de ce que tous les peuples de la terre espéraient d’un roi : que sa puissance et son invincibilité seraient contrebalancées par sa douceur et sa bonté.
« Cela me ramenait encore une fois à mes réflexions sur la bonne façon de mener ma vie. Avec la rapide péremption de tout, quelle vanité me poussait à vouloir acquérir des honneurs ou à laisser ma trace dans l’avenir, trace qui s’effacerait aussitôt ? »
Être un hoplite spartiate signifiait à la fois une appartenance à ce corps indissociable qu'était notre armée et dont la mission nous dépassait, mais induisait aussi la reconnaissance de notre qualité d'individu unique et alter ego de tous les autres.
Les Romantiques français, dans leur jeunesse, étaient plutôt réactionnaires et monarchistes. Quel est celui qui a connu une évolution qui l’a conduit à être élu sénateur siégeant plutôt à gauche ?