IV/APOCALYPSE
La nuit du passé
pivote sur
la nuit de l'avenir
d'où galope vers toi l'amas
d'une absence active, la voix
toujours méconnaissable, hors
du rien où tu entends l'appel
antérieur à tout désir,
et qui
semble dire : "viens".
Auras-tu la force encore
de répondre : "Me voici" ?
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