La confusion entre le virtuel et le réel, la désorientation totale qui caractérise les schizophrènes de l’âge postindustriel, entraîne l’appauvrissement et la stérilisation de l’imagination. Celle-ci cesse d’être créatrice – sauf, en principe, chez les « créatifs » dont c’est précisément la spécialité – et se limite à la consommation et au ressassement d’images préfabriquées.