"Jour après jour, il entrait en solitude. A condition de respecter un emploi du temps précis, rythmé par un travail physique et répétitif, son isolement ne pesait plus comme une contrainte. Il regrettait parfois de ne pouvoir user de la prière. Sa discipline corporelle se serait trouvée renforcée par un élan divin et il enviait la règle monastique qui alterne travail manuel et méditation spirituelle. Il avait le jardin, il lui manquait les laudes".