[…] le sentiment que l'écriture du poème est non seulement une « respiration essentielle », notre oxygène dans les mots, mais qu'elle est aussi notre épine dorsale, celle qui, contre vents et marées, permet à chacun de se tenir droit.
[in « Autre Sud, Poésie d'aujourd'hui : Roumanie - France : Voix croisées », 2005, p. 87]