[Le thérapeute] doit être capable de répondre, à certains moments, à un appel du patient en montrant et en disant son amour pour ce patient : un mot, un geste, une intonation qui expriment avec gravité son lien existentiel profond avec ce patient et sa souffrance. Si on ne peut faire cela avec ses patients-limites, le risque est qu’ils ne sortent plus jamais de leur désespoir […].