Il y a vraiment quelque chose de pervers dans les chagrins d'amours : une fois que les aimés nous ont quittés, tout nous ramène à eux. On croit les aimer encore plus. S'ils sont présents, on souffre. S'ils sont absents, on souffre tout autant. Toutes nos nuits occupées à pleurer les milliers de potentialités de ce qui aurait pu être mais qui ne sera jamais. On perd la raison.