Cette foule hétéroclite s'éparpille et se réfugie dans les fossés ou sous les arbres au moindre vrombissement de moteur d'avion. Quand les stukas, en piqué, ont fini de mitrailler es fugitifs, des corps ensanglantés gisent un peu partout. a désolation est totale. Une fois terminé le passage des avions tueurs, les longues colonnes de ce troupeau humain se remettent alors en mouvement.