René, mon binôme de Varangeville, était un petit rouquin nerveux au visage constellé de taches de rousseur.
C'était énervant, parce que c'était toujours lui qui trouvait en premier les marques sur le sol. A sa façon de renifler, on aurait dit un chien de chasse flairant une piste, mais c'était juste qu'il avait la morve au nez et pas de mouchoir.