En s’étendant comme une marée, la religion du Prophète avait mis, si l’on peut dire, de l’eau dans son vin et de la science dans son dogme. L’accepter et s’en servir pour améliorer son existence terrestre n’était plus un péché, si tant est qu’une longévité accrue pouvait signifier le gain de quelques incroyants à la vraie foi, et la mort de quelques irréductibles.