À la veille de la Révolution, Louis-Sebastien Mercier dénonce, dans son Tableau de Paris, les femmes « « qui sont devenues gouvernantes de roquets, et ont pour eux des soins inconcevables. […] Les mets les plus exquis leur sont prodigués : on les régale de poulets gras, et l’on ne donne pas un bouillon au malade qui gît dans le grenier ».