Les gens devraient confier leur vie à des écrivains qui prendraient en charge la programmation quotidienne de leurs destins immobiles. Tout se réglerait alors par des empilages de mots, comme : « pendant ce temps », « et soudain ». Les situations inextricables se décoinceraient par la magie du verbe au milieu d’un concert de points d’exclamation.