Les mots, lui disait-elle souvent, c’est comme les icebergs. On n’en voit que le museau mais c’est une multitude de possibles qui se dissimule derrière. Voir la face cachée du mot, la grande ombre qu’il projette, la chrysalide d’où il sort… c’était là le travail de certains policiers artistes. Alexis et Rachel étaient des artistes, à leur façon.