« en fait, conclut-il, il n’a y pas vraiment de passage de la lecture à l’écriture, comme une traversée ou un cheminement. Il y a une logique. Les yeux sur les mots entraînent la cavalcade des doigts sur le clavier. Si tous les livres lus sont autant d’échappées belles sur les routes du monde, écrire, c’est s’inventer des chemins vierges.