Pourtant, sur le miroir du temple, la face des vivants s'enténèbre ou s'efface. Le fidèle qui, sur le départ, s'y regarde, se voit, non tel qu'il est, mais tel qu'il sera quand il aura quitté la lumière du soleil pour gagner le pays des morts : ombre obscure, brouillée, indistincte, tête encapuchonnée de nuit, spectre désormais sans visage, sans regard.