De même que la parole trébuchera en moi pour être fondue à mon creuset et formée(gée) par mon travail, de même je ne me penche pas sur elle volontairement mais malgré moi. Or à ce moment, ce que je viens d'appeler la parole, c'est très exactement rien. Elle est mon vide et l'absence d'image en un miroir désespérément tendu.