Un corps, du moins, ce qu’il en reste. Il est démembré, la tête arrachée et posée à deux pas, un œil manquant, l’autre encore attaché à son nerf optique et le bas de la mâchoire pendante. Pour couronner le tout, son ventre tout comme son torse sont ouverts en deux pour exposer les organes vitaux de la victime. Des organes qui pour la plupart sont absents. Un tableau digne des pires scènes d’horreur. Même Valentin, un vieux de la veille, ne peut réprimer un haut-le-cœur, surtout avec cet imbécile de bleusaille qui ne cesse de dégobiller à deux pas de lui.