Le temps des grèves ouvrières ou paysannes révèle et aiguise une tension sociale et politique, voire culturelle, assez forte. Pour une partie de l'opinion, il s'agit d'un mouvement de désordre et de chaos, qui s'en prend au droit de propriété, réactivant les peurs des partageux; ce qui choque une partie de l'électorat classique des radicaux, les classes moyennes, et qui contribue au reclassement politique. De l'autre côté ce mouvement social est légitime, induisant le droit au "bonheur pour tous"...