Sitôt que je lève la tête, je tombe sur mon espoir d'eau fraîche : Silence. Ses yeux, comme des lucioles, illuminent la pâleur entre mes paupières. Le printemps danse dans ses pupilles et le soleil s’essaie, funambule, le long de ses cils. Son regard, une étendue de sable venue flatter les vagues. Que reste-t-il à l'été, mademoiselle, si ton regard porte tant de chaleur ?