L’Italie était pour moi cette patrie où l’on aime à cause du soleil. Quand je me réveillai en Italie, dans le coin du wagon où j’avais dormi toute la nuit, je sentis quelque chose en moi naître sous les courbatures : c’était une allégresse qui devait beaucoup à la littérature ; à mon âge, pour moi, c’était le bonheur tout court.