Monsieur le Curé, l’imagination est une sotte, la vie une guenille, le monde une loque assez brillante de loin, mais bonne tout au plus à mettre dans un cerisier pour faire peur aux oiseaux. J’ai envie de me jeter à la Trappe, mon cher curé ! Si j’étais sûre qu’il me fût permis de valser de temps en temps avec de charmants cavaliers tels que j’en connais, j’irais certainement m’y réfugier, y ensevelir ma jeunesse et ma beauté.