Jeanine Baude

«  Comme grappes de raisin dans la mer, vos perles ,
vos silences.
Je bois à vos manques.
Ce trou d’où je naquis , écrivit Perec.
Je m’y loge. Je
Dans la mouvance du fleuve . Les tourbillons,
Les rires . Les
passerelles . Les planches de salut .
Je m’y loge. Je .
Imaginez un instant la danse infernale:
tomber, se relever,
glisser, se noyer , remonter étouffée ,
suspendre , reprendre
le souffle
Le poème
L’adresse à la voix .Adrienne , Sophie, Adèle .
Le cri » ……..