Jeanne Doré

Dans toutes les revues Nez, qui sont aussi bien pour les professionnels pour les passionnés de parfumerie, et toujours d'une qualité exceptionnelle, il y a un carton parfumé. Ce numéro 16 sera donc parfumé au musc, pour mon plus grand bonheur.



J'ai adoré dans cette revue l'interview de Marc-Antoine Corticchiato, le parfumeur de Parfum d'Empire, la découverte d'un "sobrellier" à savoir quelqu'un qui va vous proposer des boissons sans alcool à table, mais aussi le grand dossier de la parfumerie couplée à la mode.



Toujours des intervenants de qualité, pour une revue au papier extrêmement doux et aux photos magnifiques !

Je suis fan de cette revue pour professionnels et amateurs éclairés de parfumerie.



J'ai beaucoup aimé cette fois-ci le reportage sur la fleur d'immortelle, la rencontre avec Maurice Roucel, et le grand article sur la parfumerie espagnole.



J'ai un peu moins aimé que d'habitude le grand dossier, ici sur les rapports entre la parfumerie et la musique, car j'y ai trouvé pas mal de lieux communs auxquels je m'attendais, mais à l'intérieur de ce dossier j'ai beaucoup apprécié la synesthésie créative et le rapport entre la critique de parfumerie et la critique de musique.



Toujours de très belles plumes, qui savent sentir, pour cet ouvrage collectif.

Reçu via une masse critique Babelio.

Ce fascicule vient compléter mes premiers cahiers faits par la Revue Nez.

Ces cahiers sont jolis – mise en page élégante, bien construits – pédagogique et explicatif. Il donne de la matière pour comprendre l'utilisation et la présence de cet agrume dans l'industrie du parfum.

On aborde le fruit sous toutes les coutures et c'est passionnant.

Si vous avez de la curiosité, et une appétence pour le parfum, ne vous privez pas !

Cette collection des Cahiers de naturels est extraordinaire au point que je vais régulièrement sur le site de la boutique qui les vend pour savoir si un nouveau est sorti. J'ai pour le moment, l'iris, la rose, le santal, le narcisse, le jasmin sambac, le vetiver, le patchouli et la fleur d'oranger.

Il s'agit d'une mine d'informations sur la culture de ces plantes à parfum, sur leur origine, où encore sur comment on en récupère l'odeur en préparant des extraits. Moi qui suis une professionnelle dans le milieu de la parfumerie, je peux confirmer que les informations qui s'y trouvent sont d'une grande valeur et qu'elles m'ont grandement inspirée dans l'écriture de mon premier roman (Hanaë Dragonfly).

J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir l'Orange dans ce livret. De très belle qualité, nous y retrouvons de nombreuses informations sur l'origine de cet agrume, où et comment il est récolté, mais surtout comment son essence est prélevée, isolée et utilisée en parfumerie.

Facile à lire, les explications sont à la portée du plus grand nombre.

Une fois le livre terminé, ma première envie était de me rendre en parfumerie pour sentir les différentes essences citées !

Je souhaiterais maintenant lire le livret sur l'Iris ou la Rose.

[Reçu grâce à l'opération "Masse critique"]

Je suis ravie d’avoir découvert cette revue grand public et pluridisciplinaire grâce à la dernière masse critique de Babelio. Je remercie également le collectif Nez & Lmr de participer à l’opération.

Je l’ai choisie pour le fruit, l’odeur et la couleur. Le format souple, l’impression sur papier crème et la typographie sont une véritable signature pour ses Cahiers des naturels. La lecture de cette revue donne d’ailleurs envie d’acquérir toute la collection. Elle est rangée à ce titre dans la catégorie beaux livres.

Les chapitres Atlas, Histoire, Traverses, 365 jours dans les plantations, Transformation et Parfumerie épluchent l’essentiel à retenir de ce fruit qui accompagne notre quotidien. Les schémas sont simples et clairs, les pages richement illustrées en couleur.

J’ai apprécié dans le chapitre Traverses l’histoire culturelle du fruit à travers les arts et la littérature. Les interventions de professionnels de l’industrie de l’orange sont également multiples. On est toujours surpris des rendements et des étapes nécessaires à l’utilisation d’un fruit.

Ma foi, si il faut soulever un point négatif, c’est certainement l’absence d’empreinte olfactive sur le papier pour en faire un parfait livre-objet.

Cette collection des Cahiers de naturels est extraordinaire au point que je vais régulièrement sur le site de la boutique qui les vend pour savoir si un nouveau est sorti. J'ai pour le moment, l'iris, la rose, le santal, le narcisse, le jasmin sambac, le vetiver, le patchouli et la fleur d'oranger.

Il s'agit d'une mine d'informations sur la culture de ces plantes à parfum, sur leur origine, où encore sur comment on en récupère l'odeur en préparant des extraits. Moi qui suis une professionnelle dans le milieu de la parfumerie, je peux confirmer que les informations qui s'y trouvent sont d'une grande valeur et qu'elles m'ont grandement inspirée dans l'écriture de mon premier roman (Hanaë Dragonfly).

Une liste subjective, qui veut refléter la parfumerie moderne et son histoire. Elle mêle des classiques, des créations de niche et des jalons, parfois datés.



Un livre utile, qui permet de prendre de la distance par rapport au marketing imposé par les marques et de retrouver des valeurs sures ou à l'inverse de sortir des sentiers battus.



Il permet aussi de découvrir l'architecture de certains parfum.