Carmilla éprouve une vague tendresse pour ces créatures qui passent de l'autre côté du miroir, dans l'irréalité. Elles éclairent les nuits parisiennes de leur beauté d'étoiles filantes et s'éteignent d'un coup, ravagées par l'alcool, la drogue, l'angoisse de voir leur beauté factice se déliter un peu plus chaque jour.