Il posa sa bouche et son nez contre ses cheveux, inspira profondément. La puanteur était atroce mais il continua à respirer, comme s’il pouvait, d’une certaine manière purifier l’espace autour d’elle, effacer la pollution, et lui rendre sa véritable odeur, intacte et brillante ainsi qu’au premier jour. L’ai passait dans ses narines, devenait plus profond, plus intense à mesure qu’il le retenait dans ses poumons avec la ferveur d’un joaillier couvant des diamants ternis et mal taillés