L’utilisation de mon prénom complet fait mal, très mal. C’est une réprimande d’adulte adressée à un enfant, l’expression de la déception la plus profonde. Non pas de la colère – ce serait défendable – mais un véritable rejet, sinueux, épuisant, qui me ronge l’âme. C’est effroyable, ça ne glisse toujours pas sur moi.