Il constata que chez tous ces pauvres gens, laissés au bord de la route du progrès, l’épanouissement ne passait que par la nourriture du corps. Ils s’attachaient à la matière, se félicitaient de petites acquisitions et déploraient des manquements anodin, uniquement pour masquer la tragédie de leur vide de leurs aspirations.
Chez ces gens-là, et chez tant d’autres dans le Sud, on ne dinait pas, on mangeait. On ne se lavait pas, on se décrassait. On ne s’habillait pas, on se couvrait.