Pax restait cet être inébranlable que rien ne pouvait altérer, sauf une chose, juste une… Un détail qui s’immisçait parfois au fond de son regard que j’étais la seule à percevoir. Une lueur, terne, malveillante, sournoise, qui s’éternisait chaque fois un peu plus longtemps et qui, au-delà de ses yeux, voilait son âme. L’unique manifestation de la culpabilité qui le rongeait de l’intérieur.