Taximan, ce n'était pas une vocation. Aucun gamin ne rêve de passer sa vie dans les embouteillages. À quinze à l'heure. De trimballer pendant quarante ans une bande de gros cons qui pour la plupart, râlent parce qu'il pleut ou qu'il fait trop chaud, parce qu'il y a trop de trafic ou parce que la course est plus chère qu'ils ne l'avaient imaginé. (p. 25)