Faut-il citer davantage Prévost pour saisir l'encyclopédiste qu'il fut, non seulement dans ses écrits , mais aussi sur le terrain ? (...)
On pense à Stendhal, alors consul de France à Civitavecchia, écrivant à M. di Fiore, le 1er novembre 1834: " Que de caractères froids, que de géomètres seraient heureux, ou du moins tranquilles et satisfaits à ma place ! Mais mon âme à moi, est un feu qui souffre s'il ne flambe pas. Il me faut trois ou quatre pieds cubes d'idées nouvelles par jour, comme il faut du charbon à un bateau à vapeur" (p. 111)